L’analyse montre qu’elle est en baisse régulière depuis une vingtaine d’années au moins, particulièrement celle de la viande de boucherie (boeuf, veau, agneau, porc frais et viande chevaline), passée de 58 à 46 grammes par jour entre 2007 et 2016. Cette baisse touche toutes les générations mais elle est un peu plus marquée dans les catégories sociales aisées et chez les ouvriers.
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