Horaires de travail « atypiques » et comportements alimentaires :
Quels impacts ? Quels leviers d’actions ?
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Le FFAS a organisé, le 14 octobre 2020, une conférence sur le thème de l’alimentation et le travail en horaires décalés, en visioconférence, à l’auditorium d’AG2R LA MONDIALE.
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Dossier participants
Communiqué de presse
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44% : c’est le pourcentage de salariés en France dits en horaires « atypiques » au moins une fois par mois, soit 10,4 millions de personnes concernées (Enquête emploi INSEE, 2017). On entend par horaires « atypiques » le travail effectué le soir, la nuit ou le week-end, par opposition aux horaires dits « standards », du lundi au vendredi en journée. Travailler en horaires « atypiques » peut présenter de nombreux risques sanitaires du fait des perturbations du rythme biologique.
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En 2016, le Fonds français pour l’alimentation et la santé a choisi de s’intéresser spécifiquement à l’impact du travail en horaires « atypiques » sur les comportements alimentaires. Pour cela, un appel à projets doté de 250 000€ a été lancé avec pour thématique : « Travail en horaires décalés : conséquences sur l’alimentation et la santé ». Les résultats des deux projets de recherche-action sélectionnés seront présentés dans la deuxième partie de la conférence, après une présentation générale du travail en horaires « atypiques » et un état des connaissances des risques sanitaires liés à ce rythme de travail.
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Avec la participation de la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) du ministère du Travail, de l’Institut Pasteur de Lille, et de l’IREPS Nouvelle-Aquitaine.
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Vidéo intégrale de la conférence :
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Ouverture par Magali Bocquet : voir la vidéo
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Intervention de Jean-Michel Lecerf : voir la vidéo
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Intervention de Martine Pellerin : voir la vidéo
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Intervention de Suzanne Lanckriet : voir la vidéo
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Conclusion par Catherine Le Fur : voir la vidéo
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Voir l’interview du Dr Jean-Michel Lecerf
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Voir l’interview de Martine Pellerin
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